Nina a fait une petite interview pour Télé Loisirs. Voici les scans de l'interview.
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Interview :
Auréolée de son succès auprès des jeunes américains qui lui ont décerné sept récompenses aux Teen Choices Awards 2010, Vampire Diaries réalise un joli score sur TF1. Moins sulfureuse que True Blood mais plus sensuelle que Twilight, cette série, qui même habilement les codes du teen-movie et du fantastique, met en scène un vénéneux triangle amoureux. Nina Dobrev y campe l'obscur objet du désir de deux vampires sexy. Nous l'avons rencontrée au Festival de télévision de Monte-Carlo.
- Télé-Loisirs : Elena s'inspire-t-elle du personnage de Bella dans Twilight ?
- Nina Dobrev : Effectivement, le début de la série fait penser à Twilight, mais elle s'en débarque vite. Bella est aveuglée par l'amour qu'elle porte à Edward. Elena, elle, ne renonce pas à ce qu'elle est. Maintenant, il est vrai que sans Twilight, qui a remis les vampires à la mode, nous n'existerions pas. Il y a quelque chose de sexuel dans ces créatures qui, pour se nourrir, séduisent leurs proies... C'est ce qui les rend attirantes et mystérieuses : comme le fruit défendu !
- T-L : Quelles sont les relations d'Elena avec les deux vampires ?
- N.D : Elena rappelle à Stefan et Damon la femme qu'ils ont tous les deux aimé il y a cent cinquante ans, Katherine. Une tueuse maniaque et narcissique pour qui le monde entier est un trophée. C'est un personnage libérateur pour une actrice, mais j'aime aussi la complexité d'Elena, ses tourments, le poids des secrets qu'elle porte...
- T-L : Quel frère préférez-vous ?
- N.D : Stefan est loyal, fidèle, protecteur, Damon est drôle, spontané, mais il peut te tuer en deux secondes. Alors, je choisis le troisième frère, Stamon...
- T-L : Racontez-nous le tournage...
- N.D : Nous avons tourné dans une ancienne plantation en Géorgie. Le propriétaire avait préféré tuer tous ses esclaves plutôt que de les émanciper. Sur les lieux, il y avait une énergie étrange : les lumières s'éteignaient toutes seules, le piano s'est mis à jouer dans une pièce vide... C'était flippant !